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Discussion:Croix occitane

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Drapeau du Languedoc-Roussillon

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Le drapeau du Languedoc-Roussillon n'est pas le bon. Là c'est le logotype du conseil régional, donc drapeau administratif et non du territoire.

Passage douteux extrait de l'article "Occitanie"

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En 1950, Henri Rolland affirme que l'origine de cette croix doit être recherchée dans le marquisat de Provence (Nord de la Durance) et plus précisément à Venasque [1].

Dès 1966, Roger Camboulives pense qu'à l'origine se trouve une croix solaire et peut-être la croix nestorienne trouvée au Turkestan chinois. Elle serait arrivée à Toulouse par l'Italie du Nord et la Provence (sans doute au Xe siècle) [2].

En 1980, (l'Auta), R. Camboulives insiste sur un rôle joué par les Wisigoths et sur les douze petites sphères qui pourraient représenter les douze « maisons » du zodiaque. Pour lui l'origine de la croix est toulousaine et non provençale. Néanmoins, les Wisigoths ne connaissaient pas l’héraldique.

En 1986, Jean-Yves Royer affirme que l'origine de croix est bien provençale mais que le texte d'Henri Rolland comporte des erreurs de dates et qu'il s'agit en fait de la croix de Forcalquier. Il s'appuie notamment sur la sculpture de deux croix figurant sur un couvercle de sarcophage à Ganagobie.

Dans la revue Archistra de décembre 1994, Pierre Saliès affirme que l'origine est toulousaine et que le signe des comtes de Toulouse est le fruit d'évolutions successives locales, peut-être à partir de la croix de Jérusalem.

En 1996 (L'AUTA n° 612) Jean Rocacher affirme que cette croix « est d'abord l'emblème propre à l'ancien comté de Venasque, démembré entre les deux maisons de Toulouse et de Forcalquier »[3].

En 2000, Laurent Macé (Les Comtes de Toulouse et leur entourage) affirme que la croix est devenue l’emblème de la famille comtale après la participation à la première croisade de Raymond IV ; cette croix pourrait trouver son origine à Constantinople. Il indique que le motif de la croix pattée a une origine byzantine et qu'il se répand en Occident via l’Italie et la Provence. Ainsi la croix de Toulouse et la croix de Venasque[réf. souhaitée] ou de Forcalquier auraient une origine commune, mais ne se seraient pas inspirées l’une de l’autre.

En 2000, Bertran de la Farge (La Croix Occitane - Loubatière) pense que la croix occitane est originaire du marquisat de Provence, vraisemblablement de Venasque[réf. souhaitée], et qu'elle pourrait provenir d'une synthèse entre la croix de Constantinople et la croix copte (croix grecque trilobée) implantée en Provence grâce aux moines (Lerins-St Victor de Marseille) et peut-être aussi grâce à l'aura de St Maurice.

J'ai du mal à voir en quoi c'est douteux, puisque chaque origine potentielle est sourcée et liée à son auteur. On n'aura pas mieux, même si les délires "zodiacaux" n'ont pas leur place ici. 87.91.198.27 (d) 30 juin 2009 à 22:08 (CEST)[répondre]

Références

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  1. "La Croix Occitane" par Raymond Ginouillac, Institut d'Études Occitanes du Tarn, 2006, 2e édition augmentée, isbn 2951939736, page 26
  2. "La Croix Occitane" par Raymond Ginouillac, Institut d'Études Occitanes du Tarn, 2006, 2e édition augmentée, isbn 2951939736, page 22
  3. "La Croix Occitane" par Raymond Ginouillac, Institut d'Études Occitanes du Tarn, 2006, 2e édition augmentée, isbn 2951939736, page 28

Croix cathare et puis quoi encore ?

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Un peu de virulence... J'ai annulé les dernières modifications sur IP qui parlaient de la Croix occitane comme symbole de ralliement cathare. Le Catharisme rejettait la Croix instrument du supplice du Christ... --— J.-F. B. (me´n parlar) 13 août 2010 à 16:47 (CEST)[répondre]

L'information supprimée est correcte : elle est bien tirée de l'ouvrage de René Nelli, les cathares du Languedoc au XIIIe siècle ; d'ailleurs, il est confirmé aussi qu'on la retrouve en Bulgarie, sous forme de stèle, comme au Languedoc, sans nul doute liée à la présence des Bogomiles ; s'il est vrai que les cathares rejetaient l'image du Christ souffrant sur la croix, la croix occitane n'en a pas moins servi de signe de résistance des cathares (Toulouse ayant été une place forte du catharisme). Cordialement ; Jean-Pierre.

Bien malheureusement, et malgré l'extrême qualité de l'article "Croix occitane" - richement documenté, il n'est mentionné que cette croix figure dans les armoiries de la République Maritime de Pise (Italie) et qu'elle apparaît de nos jours dans le blason qui orne le centre du pavillon de tous les navires italiens, marchands, civils, militaires ou privés. Félicitations tout de même pour ce bel article. Gérard --178.195.251.183 (discuter) 18 septembre 2013 à 22:28 (CEST)[répondre]

Modifications intempestives de Jejesga06

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Bonjour, certaines de ces modifications sont intempestives et militantes:

  • suppression d'une référence à Prouvènço d'aro
  • demande de référence sur la présence de la croix sur certains blasons de communes (Creuse, etc.) alors que ces blasons sont illustrés dans l'article
  • remplacement d'un terme compréhensible (étoile à 7 branches) par un terme ésotérique (Santo-Estello)

Merci de ne pas oublier que wikipédia est une encyclopédie et que les articles doivent suivre certaines normes rédactionnelles. Cordialement, --— J.-F. Blanc (me´n parlar) 19 juillet 2017 à 00:09 (CEST)[répondre]

Léopards

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La première représentation des léopards, autant que je sache, est sur le bouclier de Geoffroy Plantagenêt, alors que celui de Guillaume IX d'Aquitaine est décoré d'un oiseau de proie. Tout porte à croire que l'origine est angevine.C. Cottereau (discuter) 17 janvier 2018 à 18:13 (CET)[répondre]

Note à reprendre

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Note (pour moi et pour plus tard) sur l'article original en attente de reprise

"La crous óucitano - La crous de Fourcauquié", Prouvènço aro, n°207, 01/2006, pp. 8-9, lire en ligne sur le site CIEL d'Oc</ref> et à plusieurs de ses composantes (anciennes provinces, départements, villes et villages). Elle est d’origine provençale[1], portée par la dynastie des bosonides. Elle a été transmise au Comté de Toulouse par le mariage entre le Comte de Toulouse et la nièce du Comte de Forcalquier selon Louis Antoine de Ruffi dans son livre sur l'Histoire de la Ville de Marseille[2].

Blason comportant une croix occitane

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Bonjour, je ne comprends pas pourquoi les blasons de Saint-Sauveur-sur-Tinée, Montségur, Port-la-Nouvelle, Lauzerte et Saint-Loup figurent comme exemple de ville possédant une croix occitane.

Par conséquent je l'ai supprime.

--Biyo Dio (discuter) 12 février 2020 à 10:25 (CET)[répondre]

  1. Henri Rolland, « L’origine provençale de la croix de Toulouse », Provence historique, vol. 1, no 1, juillet-septembre 1950, p. 52-58 (ISSN 0033-1856). Lire en ligne
  2. Louis Antoine de Ruffi, Histoire de la VIlle de Marseille, Henri Martel éd., Marseille, 1696 PP55 à 57.